par Jean | Déc 17, 2019 | Restauration
Nés entre les années 1980 et 2000, les membres de la génération des millennials représentent 30% de la population française. Pour ces hommes et femmes avertis aux codes marketing de notre société, ultra-connectés, en recherche d’expériences fortes de sens et d’authenticité, être en mesure de les fidéliser est un réel enjeu pour les restaurateurs.
Le parler vrai, l’authentique et les millennials
Un
restaurateur qui souhaite attirer et retenir les millennials doit commencer par
leur parler vrai. L’authenticité est en effet un moyen efficace de les
fidéliser car il s’agit d’une valeur à laquelle ils sont fortement attachés.
Mais les notions de plaisir, de bien-être et de qualité sont également primordiales.
Les produits faits maison, le terroir, le bio, le locavorisme, les
circuits-courts… voilà ce qu’attendent de voir dans leur assiette les
millennials.
Utiliser le digital
Nés avec les nouvelles technologies, Internet et le digital dans son ensemble, ceux qu’on dénomme également les digital native sont ultra-connectés. Alors autant les rencontrer là où ils se trouvent ! Un restaurant qui s’attirera leurs faveurs est celui qui sait jouer la carte du digital avec un site web mobile, des comptes réseaux sociaux alimentés quotidiennement et des services de paiement novateurs et avantageux comme Easy Lunch.
Créer et maintenir le contact
Dans
la même logique, la bonne idée est d’utiliser une panoplie complète d’outils et
du supports digitaux pour rester en contact avec eux. Les SMS, emails et
newsletters comptent notamment parmi les moyens de tisser de bonnes relations
avec eux, de se rappeler à leur bon souvenir et de leur proposer des offres
spéciales, des menus du jour, des soirées, des événements et autres offres en
tout genre. Attention toutefois à ne pas les matraquer de messages car ils connaissent parfaitement les ficelles
de notre société marketing.
Leur offrir une expérience riche
Au
chapitre des nombreuses spécificités de cette génération pas comme les autres,
la recherche d’expériences fortes à vivre en est une particulièrement prégnante.
Une expérience qui doit être complète : elle débute sur le site web et les
réseaux sociaux pour se poursuivre dans le restaurant. Leur mettre l’eau à la
bouche en somme puis transformer l’essai dans l’assiette mais aussi grâce à un
accueil et un service de qualité.
La personnalisation
La
personnalisation est par ailleurs un autre levier de fidélisation car les
millennials aiment avoir du sur-mesure. Les restaurateurs qui proposent ainsi
de composer certains plats et menus, de rajouter tels et tels ingrédient dans
leurs assiettes ou encore d’avoir la main libre sur les garnitures réussissent à
les fidéliser avec succès.
par Jean | Déc 10, 2019 | Restauration
Réduire le gaspillage alimentaire s’impose comme une nécessité et il s’agit même d’une obligation pour les restaurateurs. La loi leur impose en effet de redistribuer leurs invendus à des associations sous peine d’amende. Alors comment faire pour réduire le gaspillage alimentaire ? Voici des solutions.
Too Good To Go, l’appli anti gaspillage alimentaire
L’application Too Good To Go est une solution particulièrement efficace pour lutter contre le gaspillage alimentaire car elle permet de proposer des plats invendus, tels que les plats du jour, à prix réduits. Plus de 2 000 restaurateurs s’en servent au quotidien et de nombreux utilisateurs commandent des plats via l’appli avant d’aller les récupérer dans le restaurant en question. A la clé, pas de perte alimentaire ni d’invendus.
Proposer des doggy-bag
Couramment utilisés aux Etats-Unis, les doggy-bag sont de simples boîtes en carton qui permettent à un client qui n’a pas fini son plat de l’emporter pour le terminer plus tard. La mise en place de ces boîtes à emporter deviendra d’ailleurs une obligation pour les restaurateurs dès 2020 voire 2021. Alors prenez d’ores et déjà et les devants, tout le monde y est gagnant !
Bien travailler ses stocks en amont
Pour les restaurateurs chevronnés, jeter de la marchandise est une hantise car il s’agit à la fois d’une perte sèche sur leur activité mais également d’un gaspillage alimentaire inutile. C’est pour cette raison qu’il est vivement conseillé de travailler soigneusement ses stocks en amont. En concertation avec le chef de cuisine, la bonne idée est de penser quels plats du jours seront servis dans la semaine et selon quelles quantités de portions.
Et pour ce qui est du reste de la carte et des menus, mieux vaut acheter quotidiennement de plus petites quantités que de stocker en abondance au risque de perdre des denrées. Dans cette optique, opter pour des circuits courts permet d’acheter la juste quantité de produits frais au quotidien ou deux fois par semaine par exemple.
Transformer les produits
En veillant bien sûr à conserver une fraîcheur optimale, les produits invendus peuvent souvent être transformés en plats, de l’entrée jusqu’au dessert. Certains chefs en ont même fait une spécialité et utilisent par exemple la totalité d’un légume, en transformant les épluchures en délicieuses fritures. Mais l’imagination ne connaît aucune limite, alors à vous de voir comment vous pouvez sublimer des restes en tartes, quiches, ragoûts, sauces, soupes et autre légumes farcis entre autres.
par Jean | Déc 2, 2019 | Restauration
Les allergènes font l’objet d’une réglementation stricte depuis 2015 que tout restaurateur se doit de connaître. Ce que vous devez savoir sur le sujet.
Les allergènes dans la restauration
Depuis une loi datant du 1er juillet 2015, les professionnels de la restauration sont dans l’obligation d’informer leurs clients sur les allergènes présents dans les plats servis dans l’établissement. Car pour rappel, un allergène est défini comme étant une “substance qui entraîne une réaction allergique chez certains sujets”.
Les
allergies alimentaires en France sont des phénomènes en forte progression
puisque 4% des adultes et 8% des enfants sont dans l’obligation de surveiller
leur alimentation. Fait plus grave, entre 50 et 80 personnes décèdent chaque
année des suites d’une allergie alimentaire.
Les réactions allergiques peuvent être relativement bénignes (démangeaisons, écoulement nasal) comme beaucoup plus graves avec des éruptions cutanées et des complications respiratoires. C’est pourquoi en tant que restaurateur vous devez obligatoirement informer votre clientèle de la présence d’allergènes ou d’éventuelles traces résiduelles de ces substances dans les plats que vous servez.
Ce que dit la loi
L’article
44 du règlement européen stipule que les consommateurs doivent être informés de
la présence de ces substances dans les denrées alimentaires de même que dans un
aliment ou un plat.
Aussi, le décret n° 2015-447 du 17 avril 2015 va plus loin encore et stipule pour sa part que les allergènes présents dans toutes les denrées non préemballées – soit celles servies dans votre restaurant – doivent obligatoirement être communiquées par écrit.
Les principaux allergènes
Voici
la liste des substances allergènes dont vous devez avoir connaissance et que
vous devez communiquer à vos clients :
1. Les céréales contenant du gluten tels que le blé, le seigle, l’orge, l’avoine ou encore l’épeautre
2. Les crustacés
3. Les œufs
4. Le poisson
5. Les arachides
6. Le soja
7. Le lait
8. Les fruits à coque
9. Le céleri
10. La moutarde
11. Les graines de sésame
12. L’anhydride sulfureux (E220) et sulfites
13. Le lupin
14. Les mollusques
Vous pouvez également afficher cette liste d’allergènes sous forme de tableau dans votre restaurant.
Comme
vous voyez, la liste des allergènes est plutôt conséquente, à vous et à votre
chef de cuisine d’y prêter une attention particulière. Et surtout rappelez-vous
que vous êtes dans l’obligation d’informer clairement vos clients sur la
présence éventuelle de tels allergènes dans les plats de votre carte.
par Jean | Nov 25, 2019 | Restauration
L’utilisation d’une caisse enregistreuse tactile pour votre restaurant est bénéfique à plus d’un titre et ce n’est d’ailleurs pas un hasard si de nombreux restaurateurs ont fait le choix d’en utiliser. Si vous n’êtes encore convaincus, voici 3 bonnes raisons d’opter pour une caisse tactile.
La caisse enregistreuse tactile = gain de temps et gestion au top !
La gestion des comptes quotidiens d’un restaurant est particulièrement chronophage et peut s’avérer des plus fastidieuses. Utiliser une caisse enregistreuse digitale munie d’un logiciel de caisse ad hoc résout ce problème car éditer le ticket Z de la journée se réalise en quelques clics seulement. Il existe une multitude de logiciels. En voici un petit échantillon : Carre Pos, L’Addition, Teledom Sécurité, Tiller Systems.
Grâce à ces caisses enregistreuses 2.0, il est bien plus facile de transmettre ces données à votre expert-comptable pour une gestion optimale de votre établissement. Le transfert se fait de la manière la plus simple qui soit, par email ou en reliant votre caisse à votre logiciel de comptabilité. Vous bénéficiez ainsi d’un gain de temps majeur qui vous permet de vous concentrer sur d’autres facettes de votre activité.
Aussi,
vous pouvez identifier les produits, les plats et les boissons qui génèrent le
plus de chiffre d’affaires, et ceux qui sont le plus rentables. Car vous obtenez
vision globale et détaillée des résultats chiffrés de votre restaurant.
Une meilleure expérience client
En utilisant une caisse enregistreuse tactile dans votre restaurant, vous offrez un gain de temps considérable à vos clients et leur offrez par la même occasion une excellente expérience client. Et qui dit client satisfait, dit client régulier !
Car
le fait est qu’une telle caisse enregistreuse accélère grandement l’édition et
l’impression des tickets et des additions. Cela fluidifie le règlement des
tables à encaisser et vous permet de faire tourner plus rapidement les couverts
au cours d’un même service. Ainsi, vos clients attendent moins à la fois pour
payer mais aussi pour être installés.
De meilleures prises de commandes
Les
caisses enregistreuses digitales s’accompagnent le plus souvent de dispositifs
numériques de prises de commandes. Les supports du type tablette ou pad permettent
de se passeR du traditionnel bon de commande en papier.
A la clé, de vrais bénéfices en termes d’organisation entre la salle et la cuisine. Les commandes sont prises rapidement et facilement, elles sont transmises immédiatement en cuisine, sans commettre d’erreur et pour une lisibilité parfaite par le chef de cuisine et sa brigade. Terminés les erreurs, les bons de commande qui se perdent et les clients qui attendent en salle !
par Jean | Nov 14, 2019 | Restauration
Tout restaurateur chevronné le sait bien : son réseau de fournisseurs est un point central dans la réussite de son restaurant. Mais comment faire pour créer un filon d’approvisionnement satisfaisant et choisir les meilleurs fournisseurs ?
Favorisez les fournisseurs locaux
Le
locavorisme est en pleine expansion en France et ailleurs dans le monde, car
cette approche qui consiste à favoriser des produits locaux issus d’une
agriculture et d’un élevage local est dans l’ère du temps. Il faut dire que
manger local n’a que des vertus : les produits sont frais, de première qualité
et les approvisionnements sont livrés en temps en heure. Un restaurateur a
ainsi tout à gagner à favoriser un filon local d’approvisionnement, de choisir
des fournisseurs locaux pour la plupart lorsque cela est possible.
Identifiez précisément vos besoins !
Mettre en place un réseau d’approvisionnement solide passe par ailleurs sur une définition fine et détaillée de vos besoins ! Cela implique que vous soyez en mesure de quantifier précisément vos besoins en produits frais, en légumes, en fruits, en viandes et en denrées de toute sorte. Calculez vos volumes de marchandises nécessaires avec précision, cela vous donnera la possibilité d’avoir des offres sur-mesure de la part de vos fournisseurs. Mais aussi d’établir une feuille de route claire pour qu’ils sachent également ce dont vous avez réellement besoin et à quelle fréquence de livraison.
Une bonne qualité de relationnel
Un
bon fournisseur est celui sur lequel le restaurateur peut compter pour
s’assurer de livraisons de produits de qualité en temps et en heure. Et pour y
parvenir la qualité de la relation humaine est essentielle. On a coutume de
dire que 80% d’un processus de vente se fait grâce aux liens d’affinité qui se
tissent entre une vendeur et un acheteur. Dans cette optique un fournisseur
doit être considéré comme un partenaire, c’est pour cela qu’il est crucial de
créer et d’entretenir avec chacun d’entre eux une très bonne qualité de
relationnel, basée sur une bonne qualité de contact humain.
Ne mettez pas vos œufs dans le même panier !
Prenez le temps de bâtir un réseau de plusieurs fournisseurs afin de ne pas vous retrouver en difficulté si l’un d’entre eux à des problèmes de quantités, de livraisons, de type de produits. Dans cette optique, nombreux sont les restaurateurs à compléter leur réseau de fournisseurs en passant par des grossistes bien connus tels que Promocash ou Métro. Ces supermarchés dédiés aux professionnels du secteur de la restauration permettent d’avoir accès à des produits de bonne qualité tout au long de l’année.
Faites de même pour les fournisseurs de matériel !